Tes petits pieds parcourent cette pelouse, tu te penche, prends cette pâquerette qui perce, tu la frotte imperceptiblement entre tes paumes, tu respire,
tu prends un peu d’air dans tes poumons, à proximité tu aperçois un dôme, non plutôt un palais perdu au milieu de nul part, ton cœur palpite, tu pousse
la porte, tu pénètre à l’intérieur, le parquet craque et tu pâlis.
Tes petits pieds parcourent mon parquet
Tes ptits poumons palpitent sous mes paumes
Une pâquerette perdue dans mon palais
Ta pelouse palie sous tes dômes
Tes ptits pieds perdus dans mon palais
Une pâquerette palpite sous tes paumes
Tes petits poumons parcourent mon parquet
Ta pelouse pâli sous mon dôme
Ta pelouse palpite sur mon parquet
Tes ptits poumons pâlissent sous mes paumes
Ma pâquerette perdue dans ton palais
Tes petits pieds parcourant le dôme
jeudi 20 septembre 2007
Une chienne de vie
Hé, mais ça va pas ! Tu me lèches... C'est froid comme ça d'un coup, à l'avenir préviens !!! Ah oui c'est vrai tu ne peux pas. Ta langue d'ordinaire ne me dérange pas, mais là j'ai été surpris. Désolé pour le coup de pied, c'est la soudaineté qui m'a fait réagir comme ça. Bon OK, ne fais pas la tête, viens te faire pardonner.
Oui je sais tu aime nos séances câlines, tu te retrouve illico presto sur le dos laissant à mes doigts le loisir de te caresser le ventre. C'est encore plus doux que sur le reste de ton corps. Oui c'est bien écarte comme ça pour me donner plus de surface à parcourir. Tu aimes toi hein, qu'on s'occupe de toi ? Eh bien moi aussi... Un peu arrondit tout de même ce petit ventre, et puis tes côtelettes on ne les sent déjà plus. Il faut dire que si je t'écoutais... Un jour ta gourmandise te perdra !!!
Tu sais je ne sais pas ce que je ferais si ta présence ne se faisait plus sentir auprès de moi. Oui, certes, il y en a d'autres sur terre, mais pas exactement des comme toi. On sait ce qu'on perd, mais on ne sait jamais ce que l'on aura. Retrouverai-je une telle obéissance, un tel dévouement. Tu te plies en 4 pour moi, mes volontés tu les devines... On a bossé tous les deux pour ça. Plus jeune, tu étais moins commode. Il a fallut que je t'apprenne le BAba des bonnes manières. Tu étais d'ailleurs plutôt bon élève.
Tu opines du chef comme si tu me comprenais... Bon après tout pourquoi pas. Moi, parfois je préférerais ne pas comprendre. Je pense que tu fais semblant de me comprendre pour me faire plaisir. Je ne sais vraiment pas, si ça me fait tant plaisir que ça qu'on me comprenne... Mais à toi, ça te fait plaisir de me faire plaisir. Mais est-ce que ça te fait plaisir que je te comprenne ? En admettant que je…
Bon d'accord visiblement je te gonfle. Profitons, tu as raison, de ce moment que nous passons ensemble.
....
....
....
Au fait Max
.....
.....
.....
Ils s'occupaient de toi comme ça, à la SPA ?
Oui je sais tu aime nos séances câlines, tu te retrouve illico presto sur le dos laissant à mes doigts le loisir de te caresser le ventre. C'est encore plus doux que sur le reste de ton corps. Oui c'est bien écarte comme ça pour me donner plus de surface à parcourir. Tu aimes toi hein, qu'on s'occupe de toi ? Eh bien moi aussi... Un peu arrondit tout de même ce petit ventre, et puis tes côtelettes on ne les sent déjà plus. Il faut dire que si je t'écoutais... Un jour ta gourmandise te perdra !!!
Tu sais je ne sais pas ce que je ferais si ta présence ne se faisait plus sentir auprès de moi. Oui, certes, il y en a d'autres sur terre, mais pas exactement des comme toi. On sait ce qu'on perd, mais on ne sait jamais ce que l'on aura. Retrouverai-je une telle obéissance, un tel dévouement. Tu te plies en 4 pour moi, mes volontés tu les devines... On a bossé tous les deux pour ça. Plus jeune, tu étais moins commode. Il a fallut que je t'apprenne le BAba des bonnes manières. Tu étais d'ailleurs plutôt bon élève.
Tu opines du chef comme si tu me comprenais... Bon après tout pourquoi pas. Moi, parfois je préférerais ne pas comprendre. Je pense que tu fais semblant de me comprendre pour me faire plaisir. Je ne sais vraiment pas, si ça me fait tant plaisir que ça qu'on me comprenne... Mais à toi, ça te fait plaisir de me faire plaisir. Mais est-ce que ça te fait plaisir que je te comprenne ? En admettant que je…
Bon d'accord visiblement je te gonfle. Profitons, tu as raison, de ce moment que nous passons ensemble.
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Au fait Max
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Ils s'occupaient de toi comme ça, à la SPA ?
Un trou à rats
Ma douce amie a du bas goût
La bague au doigt elle m’avoue tout
Par tous les trous aucun tabou
Tous les endroits, tous les tabac
A Tanger ou même à Rabat
Des risques ou dangers, elle s’en bat
Les trous à rats, lieux au rabais
Debout, allongée ou en biais
Elle loue son corps à moindre frais
Les coups sur elle glissent comme sur glace
Déclenchent parfois des grimasses
La machine déraille, se grippe, casse
Sous ma langue ruisselle Son étang
Elle s’emballe Au moindre effleurement
Evitant ainsi l’évident
Des fleurs elle arrache les pétales
Elle songe à l’adolescent pâle
Qui jadis la déflora, sale
Sur d’épaisses dalles elle s’étend
Elle s’alanguit sous mes élans
Nous nous mêlons, nous liquéfiant
La bague au doigt elle m’avoue tout
Par tous les trous aucun tabou
Tous les endroits, tous les tabac
A Tanger ou même à Rabat
Des risques ou dangers, elle s’en bat
Les trous à rats, lieux au rabais
Debout, allongée ou en biais
Elle loue son corps à moindre frais
Les coups sur elle glissent comme sur glace
Déclenchent parfois des grimasses
La machine déraille, se grippe, casse
Sous ma langue ruisselle Son étang
Elle s’emballe Au moindre effleurement
Evitant ainsi l’évident
Des fleurs elle arrache les pétales
Elle songe à l’adolescent pâle
Qui jadis la déflora, sale
Sur d’épaisses dalles elle s’étend
Elle s’alanguit sous mes élans
Nous nous mêlons, nous liquéfiant
Tu fais des bonds
Ma vie de torturé m’inspire ce paragraphe
Tu as tôt fait de rédiger mon épitaphe
De valétudinaire je devins moribond
Ma présente absence te fait pouffer, tu fais des bonds
Je viens hanter tes nuits, tu fais encore des bonds
Je viens voler tes rêves, tu fais toujours des bonds
Te lécher les paupières, toujours autant de bonds
Arracher ta nuisettes, sans cesse encore des bonds
Etrangler ton amant, également des bonds
En paix désormais, je peux mourir pour de bon
Tu as tôt fait de rédiger mon épitaphe
De valétudinaire je devins moribond
Ma présente absence te fait pouffer, tu fais des bonds
Je viens hanter tes nuits, tu fais encore des bonds
Je viens voler tes rêves, tu fais toujours des bonds
Te lécher les paupières, toujours autant de bonds
Arracher ta nuisettes, sans cesse encore des bonds
Etrangler ton amant, également des bonds
En paix désormais, je peux mourir pour de bon
Séverine me met en verve
Séverine me met en verve
Je savoure sa voix veloutée
Eruption organique, monte ma sève
Sa vulve fait se soulever
Ma verge au moindre vent
Son ventre vaporeux
Provoque mon désir en dedans
De cette vénus au teint vineux
J’avale le velouté
Son venin déjà m’enivre
S’envolent mes volontés
Et mes vœux s’évaporent
Je ne suis plus qu’un épouvantail
Au service de son volcan
Je vogue à l’affût de son portail
Sans prendre des gants
Ni de velours ni de fer
Des vagissements indiquent la voie
Vague viole volontaire
D’une femme aux aboies
Séverine me met en verve
Sa vulve fait se soulever
Son ventre vaporeux
Eruption organique, monte ma sève
J’avale le velouté
De cette vénus au teint vineux
Son venin déjà m’enivre
Je ne suis plus qu’un épouvantail
Au service de son volcan
Et mes vœux s’évaporent
Je vogue à l’affût de son portail
Sans prendre des gants
Ni de velours ni de fer
Ma verge au moindre vent
S’envolent mes volontés
Vague viole volontaire
Provoque mon désir en dedans
Je savoure sa voix veloutée
Des vagissements indiquent la voie
D’une femme aux aboies
Je savoure sa voix veloutée
Eruption organique, monte ma sève
Sa vulve fait se soulever
Ma verge au moindre vent
Son ventre vaporeux
Provoque mon désir en dedans
De cette vénus au teint vineux
J’avale le velouté
Son venin déjà m’enivre
S’envolent mes volontés
Et mes vœux s’évaporent
Je ne suis plus qu’un épouvantail
Au service de son volcan
Je vogue à l’affût de son portail
Sans prendre des gants
Ni de velours ni de fer
Des vagissements indiquent la voie
Vague viole volontaire
D’une femme aux aboies
Séverine me met en verve
Sa vulve fait se soulever
Son ventre vaporeux
Eruption organique, monte ma sève
J’avale le velouté
De cette vénus au teint vineux
Son venin déjà m’enivre
Je ne suis plus qu’un épouvantail
Au service de son volcan
Et mes vœux s’évaporent
Je vogue à l’affût de son portail
Sans prendre des gants
Ni de velours ni de fer
Ma verge au moindre vent
S’envolent mes volontés
Vague viole volontaire
Provoque mon désir en dedans
Je savoure sa voix veloutée
Des vagissements indiquent la voie
D’une femme aux aboies
Pyromane vomissante
Pyromane méticuleuse et maniérée
Tu manies avec dextérité l'allumette
Tu vomis l'homme qui t'a engendrée
Et le chasse une bonne fois pour toute de ta tête
Ton père appartient à la marine
D'où ta phobie de l'élément eau
Ce qu’il t’a fait te chagrine
Tu mets le feu aux rideaux
Ta langue maternelle est le feu
Ta patrie à toi c’est le pieu
Tu fais le ménage à périgueux
Et te maries entre deux
Tu allumes tes nombreux amants
Pour qu’enfin en toi ils s’animent
Tu leur hôte la vie en riant
Tu incinères leurs parties intimes
Avec leurs vestons élimés
Tu éponges ta brune fournaise
Et éparpille leurs cendres dorées
Devant leurs épouses qui se taisent
Tu fais défiler les maris
Invite Satan à la noce
Ta mère prise d’une soudaine folie
Crache au visage de sa gosse
Du diable qu'elle a enfanté
Elle veut reprendre la vie
Et ainsi terrasser
La brûlante épave qu’est sa fille
Oh démon ennemi des flots
Tu te caches derrière cette épaisse brume
Ta présence fait s'évaporer l'eau
Voile opaque sur tes crimes
Tu manies avec dextérité l'allumette
Tu vomis l'homme qui t'a engendrée
Et le chasse une bonne fois pour toute de ta tête
Ton père appartient à la marine
D'où ta phobie de l'élément eau
Ce qu’il t’a fait te chagrine
Tu mets le feu aux rideaux
Ta langue maternelle est le feu
Ta patrie à toi c’est le pieu
Tu fais le ménage à périgueux
Et te maries entre deux
Tu allumes tes nombreux amants
Pour qu’enfin en toi ils s’animent
Tu leur hôte la vie en riant
Tu incinères leurs parties intimes
Avec leurs vestons élimés
Tu éponges ta brune fournaise
Et éparpille leurs cendres dorées
Devant leurs épouses qui se taisent
Tu fais défiler les maris
Invite Satan à la noce
Ta mère prise d’une soudaine folie
Crache au visage de sa gosse
Du diable qu'elle a enfanté
Elle veut reprendre la vie
Et ainsi terrasser
La brûlante épave qu’est sa fille
Oh démon ennemi des flots
Tu te caches derrière cette épaisse brume
Ta présence fait s'évaporer l'eau
Voile opaque sur tes crimes
Pas plus bas que terre
Tu n’es pas plus bas que terre
Pas même lorsque tu me lèches.
Pas une cible que l’on perce
Une enfant quand je te fesse
Pas une chienne quand je t’attache
Moins que rien quand tu me suces
Pas une mère quand je te tète
Pas un gouffre quand je te prend
Une vessie pour mes lanternes
Pas un mouchoir pour mes larmes
Pas un briquet pour mes clopes
Pas un linceul pour mon corps
Pas un dieu pour mon âme
Un gendarme quand je déborde
Un prêtre pour mes confessions
Du thym pour mes infusions
Un fouet pour mes punitions
Une serviette quand tu m’éponge
Pas un vase que l’on renverse
Tu n’es pas plus bas que terre
Et après tout quand bien même…
Pas même lorsque tu me lèches.
Pas une cible que l’on perce
Une enfant quand je te fesse
Pas une chienne quand je t’attache
Moins que rien quand tu me suces
Pas une mère quand je te tète
Pas un gouffre quand je te prend
Une vessie pour mes lanternes
Pas un mouchoir pour mes larmes
Pas un briquet pour mes clopes
Pas un linceul pour mon corps
Pas un dieu pour mon âme
Un gendarme quand je déborde
Un prêtre pour mes confessions
Du thym pour mes infusions
Un fouet pour mes punitions
Une serviette quand tu m’éponge
Pas un vase que l’on renverse
Tu n’es pas plus bas que terre
Et après tout quand bien même…
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