Son silence m’attriste, me rebute, m’agace
Quoique j’entreprenne, je la laisse de glace
Mes assauts lui font peur, la gênent, la lasse
Mes envies foudroyantes, poignantes, voraces
Désirent, appellent, réclament tant sa crevasse
Son abricot, son bijou, sa fendasse
Sa boîte à ouvrage, sa charnière en strass
Son petit chat, son minou dégueulasse
Son con, sa touffe, sa foufoune qui se tasse
Je délire, je pleure, je devient salasse
Je me déverse en paroles éparses
Je la blesse, la transperce lui fait des traces
Pour soigner des maux que des mots n’effacent
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Il ne suffit pas de le penser, il faut le sortir...