L'haleine de sa lune apaise mon âme
Ma haine s'essouffle, ses clapotis m'enivrent
Ma peine se dissipe enfin le calme
D’Hélène, des larmes commencent à jaillir
La laine brune de ma divine poisseuse
Obscène vêtement voilant son néant
À grand peine éponge la visqueuse
Châtelaine étourdie par les vents
De l'aine, ma main, tombe avide
Certaine d'être de nouveau assaillie
Ma naine s'anime, se dresse et guide
Le capitaine en son intarissable puit
Souterraines sont les voies qu'emprunte l'énergumène
Ma reine ordonne à sa flotte de m'inonder
Les sirènes font déjà entendre leur rengaine
Ces acouphènes me rendront fou allié
Pas de baleine en vue, juste un serpent au saillantes vaines
Alienne extraordinaire, bête plutôt seraine
Dans l'arène s'engage un combat entre des muqueuses et une yenne
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Il ne suffit pas de le penser, il faut le sortir...