C’est avec quelques picotements au thorax que j’évoque
Cette lointaine époque où tes tics
M’éclaboussaient sans aucune équivoque.
Lorsque ça te prenait, quand ça te toquait
Toc toc toc, à ma fenêtre tu cognais.
Juste un quoi de neuf, un comment tu vas,
D’aucune autre question tu ne t’encombrais.
Très classique, des bises claquent
Il est déjà 5 heures.
Contre le mur tu me plaques
Ni ton âme ni ton cœur
Sur le lit tu tombe en vrac
Juste ton corps Et cette putain d’ardeur.
samedi 28 juillet 2007
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Il ne suffit pas de le penser, il faut le sortir...